“Je suis l’initiateur du groupe de Douala. Je ne l’ai pas créé pour que Anicet le conduise, pour qu’il y recrute ou exclu qui que ce soit. Je l’ai créé pour rassembler les candidats annoncés qui remplissaient les conditions de l’article 121 du code électoral, les rassembler en présence de quelques facilitateurs qui sont des personnalités sans ambitions de candidature. Tout ceci à l’effet de permettre à ces candidats annoncés de parvenir à un consensus sur un programme politique minimum pragmatique et sur un candidat consensuel qui serait investi par son propre parti. La démarche était saine, elle ne prévoyait pas le commerce de l’investiture, elle ne prévoyait aucune recherche de l’investiture pour qui que ce soit et évidemment il n’y avait pas d’argent à dépenser et à gagner pour qui que ce soit. Il n’y avait aucun débat idéologique à faire. Il y avait une stratégie électorale à mettre en place. Cette démarche excluait Maurice Kamto et tous ceux qui comme lui ne remplissent pas les conditions de l’article 121 du code électoral. C’était de la stratégie conformément à la loi. Anicet dont j’ai découvert entre temps le soutien à la criminalité upéciste vaine s’est emparé malicieusement de mon initiative et l’a dévoyée en y injectant des personnes qui n’y avaient rien à faire (Aba oyono C’était pour quoi? ) et en faisant découvrir sa pourriture morale au demeurant bien connue dans le milieu upéciste. Le groupe de Douala n’a pas besoin d’un acte de création car C’est une initiative. Depuis quand dans ton nationalisme primitif une initiative a besoin d’un acte de naissance ? Le désordre intellectuel qui règne dans votre petit monde où vous passez le temps à cannoniser l’échec montre chaque jour pourquoi vous êtes, vous les manidemistes, les artisans de l’implosion de l’UPC. ANICET comme toi-même le petit militant sans auréole, vous n’avez aucune faculté à unir les gens. Si vous étiez doués de la moindre vertu à unir, eh bien vous devriez depuis des années œuvrer pour unifier l’UPC. Le schisme est l’essence de votre organisation et Anicet est un homme qui vit du schisme et il a toujours participé à la prolifération des candidatures à l’élection présidentielle pour y tirer un profit pécuniaire en servant les intérêts bien connue du régime. Quel était le rôle de la candidature d’Anicet en 2011 si ce n’était pour gagner de l’argent ? Les conditions de financement de la campagne électorale présidentielle de l’époque s’y prêtaeint. Anicet n’étant d’ailleurs pas le seul opportuniste vénale politique a avoir profité de ces conditions. La caution coûtait 5.000.000 F et le régime donnait pour récompenser ceux qui jouaient son jeu 15. 000.000 F au titre de la tranche égalitaire du financement de la campagne électorale. La plus-value est connue. En portant la caution à 30.000.000 F nous au SDF, nous avons œuvré pour empêcher des gens comme les Anicet d’avilir l’élection présidentielle. Maintenant vous découvrez le commerce de l’investiture. Là aussi vous mordrez la poussière”. Dixit Abel Elimby Lobe  

*Maurice Kamto* Le philosophe Marc Aurèle laissait entendre que Rome sera bien administré lorsqu’un philosophe deviendra empereur. Par la force des choses, il devint empereur. Malheureusement, il ne fut pas meilleur que ses prédécesseurs. C’est la même antienne que certains imposent à l’opinion depuis une décennie: le Cameroun deviendra un paradis avec l’universitaire Maurice Kamto. Sauf que le Président du MRC se donne à voir non pas comme un politique vertueux et crédible. Son dernier dribble est sa campagne laissant croire que le MRC pouvait l’investir à l’élection présidentielle. En vendant à l’opinion le mensonge suivant lequel il suffisait pour son parti politique de débaucher des élus dans d’autres formations pour qu’il soit investi par ce dernier, Me Tsapi Lavoisier et d’autres sont tombés dans le panneau. Ils vont quitter les rangs du Social Democratic Front (SDF) pour le parti d’Odza à l’effet de sortir le “frère” du bourbier. Malheureusement, pour eux, comme en 2020, il a les dribblés comme ce fut le cas avec Célestin Ndjamen, Michel Ndocki, lorsqu’il décida de manière fort insolite de retirer son parti de la course aux élections législatives et municipales.Il a rejoint le Manidem après cette campagne d’analphabétisation juridique. La constance de Maurice Kamto dans l’esbroufe et la gestion instrumentale des siens amène à se demander quelle pourrait être la gouvernance de ce dernier si par miracle il arrivait au pouvoir… Le Cameroun entrerait, à coup sûr, dans l’âge de l’abêtissement, de l’intolérance et des ténèbres. *Julien NGA EBEDE*

Le Pr JEAN SYLVAIN MVONDO : l’homme du président ( Par ALAIN DEXTER) S’il y’a bien un homme de terrain dans la région du Sud sur lequel le PRÉSIDENT PAUL BIYA peut compter pour remporter avec brio les présidentielles d’octobre prochain,il s’agit bien du PR JEAN SYLVAIN MVONDO, Président de la Section RDPC de Dja et Lobo 1. Dans un contexte politique où les promesses électorales sont souvent déconnectées de la réalité, le Pr Jean Sylvain MVONDO se distingue par son engagement sans faille envers les populations et sa loyauté envers le Président BIYA. au fil des années il s’est taillé une solide réputation d’homme du peuple, grâce à une écoute attentive et une approche humaniste qui place les besoins des militants au cœur de son action. Il passe ainsi son temps libre à rencontrer ses militants à discuter avec eux de leurs défis quotidiens et à chercher des solutions concrètes pour améliorer leur vie. Cette approche lui a valu une confiance solide et une grande popularité auprès des différentes communautés de sa circonscription politique. *Un humanisme en action* L’engagement du Pr MVONDO se traduit par des actions concrètes qui ont un impact direct sur la vie des populations. Parmi ses réalisations notables, on peut citer : – *Électrification rurale* : il a contribué à l’électrification de plusieurs zones rurales, améliorant ainsi l’accès à l’énergie et favorisant le développement économique local. – *Construction d’adductions d’eau* : il a initié des projets pour fournir de l’eau potable aux communautés, améliorant ainsi la santé et le bien-être des populations.Par ailleurs il a récemment engagé la construction de pistes agricoles et la réhabilitation de certaines routes de l’arrondissement de SANGMELIMA, facilitant ainsi les déplacements et le commerce des vivres le PR JEAN SYLVAIN MVONDO n’hésite pas aussi à apporter son soutien à des personnes sinistrées ou en détresse, démontrant ainsi son engagement envers les plus vulnérables. *”Politique autrement” : un concept novateur* Le Pr MVONDO a créé le concept de “politique autrement”, qui consiste à passer de la parole aux actes. Contrairement à de nombreux hommes politiques qui ne se montrent qu’à l’approche des échéances électorales,. Cette approche fait de lui un exemple à suivre. car c’est avec de tels hommes, à l’ecoute et au service des populations ,loyaux et humbles ,que la victoire du Président Biya sera assurée en octobre prochain.

Il a suffi d’un message. Un post. Une décision. Et tout ce qui bruissait depuis des semaines dans les couloirs du pouvoir, dans les salons feutrés, dans les marchés animés, dans les groupes WhatsApp frénétiques a subitement pris sens. Le Président Paul Biya est candidat. Ce n’est pas une annonce. C’est une balise. Une sorte de balancier républicain qui remet l’aiguille au centre. Un signe venu de là-haut, que le pays entier attendait, si, si, sans vraiment l’avouer, entre désir de renouveau et besoin de stabilité. Car disons-le franchement : dans cette saison politique où beaucoup prétendent savoir, où certains jouent à deviner et d’autres à se placer, il manquait jusqu’ici la seule voix qui peut réellement faire foi. Le Chef de l’État a donc choisi de continuer l’histoire. Pas pour flatter son ego, il n’en a jamais eu besoin. Pas pour contrecarrer les ambitions, il les a toujours transcendées. Mais certainement parceque le Cameroun, plus que jamais, a besoin d’un cap sûr dans un monde qui tangue. Le geste est fort. La symbolique puissante. ll parle peu. Mais quand il parle, il pèse. Et quand il se dresse, tout le paysage s’aligne. L’homme de la rigueur est revenu avec sa constance. L’homme de la paix revient avec son calme. L’homme d’État revient avec sa hauteur. Alors que les impatiences grondent et que les calculs se multiplient, Paul Biya choisit la verticalité du devoir. Il ne conquiert rien : il répond à l’appel. L’appel du peuple. L’appel du temps. Un temps exigeant. Un temps dangereux. Un temps d’équilibre. Est-ce populaire ? Est-ce stratégique ? Est-ce pertinent ? L’histoire jugera. Dans les campagnes, on dit :_*celui qui connaît le chemin ne marche pas vite, il marche juste*_ Et beaucoup, aujourd’hui, reprennent cette sagesse à leur compte. Car *On marche avec Paul Biya, parce qu’il connaît la route.* Pas parce qu’il est le plus jeune. Pas parce qu’il est le plus bruyant. Mais parce qu’il reste, dans l’orage, le plus rassurant. La suite ? Elle appartient au peuple. Mais ce jour, la République a repris son souffle.